Bast parle du « vent, de l’eau, … »

Rien n’arrête
Vraiment
Le vent.
Tu peux t’en protéger, certes,
Mais, en aucun cas,
Tu ne peux le stopper.

Il en va de même pour l’eau.
Elle peut être endiguée,
Elle peut être détournée,
Mais elle continuera de couler
Ou choisira de s’évaporer,
De se transformer.

Rien n’arrête, non plus,
Le mouvement
Puisqu’il est, par nature,
Plus mobile que l’eau,
Plus fluide que
Le vent.

Si je te dis cela, c’est pour
Que tu comprennes
Que rien n’arrête
Le Souffle,
Que rien n’arrête
La Source

Et que tout est mis en œuvre,
Que tout est mis en mouvement,
Pour que tu puisses sentir
La vibration d’amour, là, ici,
Tout autour, et particulièrement
En Dedans,

Te chanter comment,
Toujours,
Aimer
Aimer
Et vibrer
D’Amour.

Réjouis-toi !

Bast parle du « Temps guérisseur »

Le temps est une fréquence nécessaire
Au processus de guérison, particulièrement
Quand les blessures sont si profondes
Qu’elles ne peuvent venir
Que d’un autre temps,
D’il y a bien longtemps.

Le temps est, alors, comme
Un baume à appliquer
Sans parcimonie, mais
Avec douceur,
Avec lenteur,
Avec tendresse.

Appréhende le temps
Tel un baume au cœur
Qui apaise les cicatrices,
Celles qui, même vieilles,
Sont rouges encore,
Sensibles toujours.

Prends le temps de te guérir
En profondeur et que cela
Ne t’empêche pas
De vivre, de rêver,
D’Aimer.
Encore.

Prends le temps,
Accueille-le comme un présent,
Un don que tu te fais,
Un cadeau pour la vie,
Une promesse faite,
Un pari tenu,

Qui est de participer
À la mise au monde
D’un rêve sacré, à la croissance
D’un rêve éveillé et de vivre
Sa réalité étoilée
Et diamantée.

Réjouis-toi !

Bast parle de « Grain de sable »

Un grain de sable isolé
Ne peut entièrement exprimer
L’immensité et la beauté
D’une plage sauvage,

Mais il est possible,
Au travers lui, de découvrir
Le chemin qui mène tout droit
À l’unité des unités.

Un grain de sable suffit donc
Pour se rendre,
Pour se retrouver,
Dans l’instant,

Au Centre des centres,
Dans l’Unité de la multitude,
Dans sa propre
Vastitude.

Quand tu as le sentiment d’avoir
Un grain de sable dans tes rouages,
Souviens-toi que, même tout seul,
Ce grain te suffit pour

T’en retourner chez toi,
Pour cheminer au cœur du Cœur,
Jusqu’à l’antre Sacré
De ta Demeure.

Réjouis-toi !